Les Chemins du Médoc: Blog photo sur le Médoc
Un blog photo sur le Médoc

Au fil du temps, des moments inattendus, improbables, des lieux sublimes, sur les chemins du Médoc

Premier matin 2022

Jean Le Gabier

Les toutes premières heures de la nouvelle année. Du côté de l'estuaire, le soleil s'est levé en fanfare, grisé semble t'il par tous les cotillons, le champagne et les feux d'artifice qu'il a croisé sur son chemin....Son bonheur enflamme la courbe de la forêt, les ors et le feu coulent jusque dans les crastes et s'étalent sur les mares. Les hérons cendrés, les aigrettes et quelques canards terminent leurs fêtes.Les biches et les chevreuils rentrent au bois.....

Au bout du chemin, les bancs de Monta

Jean Le Gabier

Un soir de décembre, juste avant Noël. Ce bout de rue est unique, il mène tout droit sur l'océan. Avant de rentrer, ceux d'ici et ceux d'ailleurs font "le tour de la vierge" pour saluer l'océan et regarder le coucher de soleil. Un rituel que rien de plus urgent ne pourrait faire rater. Un privilège d'être ici ! Certains s'arrêtent, songeurs, les mains sur le volant, le regard fixé vers l'horizon. D'autres, moins pressés s'assoient sur un banc, profite du moment. Grisés par la lumière éclatante, ils rêvent d'un autre monde. Aujourd'hui, ils sont rares car ce soir il ne fait vraiment pas chaud. Demain soir peut être.

La "Rivière" comme on l'appelle ici

Jean Le Gabier

Au dessus de l'estuaire, le ciel est gris de pluie. Chargée d'eaux limoneuses, la "rivière" comme on l'appelle ici, glisse lourdement sur les rives sépias. Les esteys n'en peuvent plus de gonfler avec la marée..

Sur le chemin qui longe l'océan

Jean Le Gabier

Sur le chemin qui longe l'océan, des flaques de ciel. De l'autre côté de la dune, la lumière métalique du jour qui monte, glisse sur l'estran pour couvrir l'océan... Pour un moment d'intimité, la Terre, nous fait oublier ses tumultes.....

A quoi bon aller plus loin

Jean Le Gabier

Des grands pins clairsemés, un voile de brume d'automne, la clarté bleue du petit matin qui monte. Le regard se perd, s'étonne. Peu de choses suffisent à mon bonheur. A quoi bon aller plus loin... 

L'océan s'amuse à vous attraper les pieds

Jean Le Gabier

Au large, poussés par un vent de nord, un train de nuage chargés de pluie longent la côte. Sans se lasser, l'océan s'amuse à vous attraper les pieds. Des volutes de parfum iodé planent au dessus de l'estran et laissent un goût salé sur la peau. Sur un ban de galets multicolores le ressac fait un bruit de billes.  

Un soir de Novembre au bord de l'océan

Jean Le Gabier

Au bord de la presqu'île, l'instant du crépuscule. La lumière s'incruste dans les plis des nuages qui longent la côte, glisse sur la grève déserte et s'étale sur l'océan qui se prélasse. A cet endroit précis tout se confond, tout se mélange dans une opulence d'espace et de couleurs. Huit minutes pour regarder, huit minutes pour vivre une autre vie...avant la nuit.

Les chemins d'automne

Jean Le Gabier

Sur les chemins d'automne, pour oublier les turbulences il suffit de lever la tête...

Dans les marais, le jour arrive

Jean Le Gabier

Lentement le jour arrive. Le brame du cerf. Le cri du faisan. La terre continue son voyage.

Des soirs de cuivre et d'or

Jean Le Gabier

Des matins brumeux.                                                                                                                                   Des soirs de cuivre et d'or.                                                                La grève, le refuge

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